L’artiste
« Claraw » ou l’audace d’exister
La
peintre Claraw, de son patronyme Clara Walch s’est démarquée de
ses congénères artistes depuis un certain moment. Pourtant malgré
son âge encore jeune, sa carrière connait déjà plusieurs années.
Parcours qui nous permets alors de retracer l’évolution d’un psychisme perturbé et en perpétuel combat avec la réalité à surmonter.
Les premières ébauches de la jeune artistes montrent une régularité assez expressive malgré la simplicité et la rapidité du geste et des motifs, on peut y dénoter un aspect très rigoureux qui n’est pas sans rappeler des sortes de barreaux, barrière qui trahissent l’état moral et psychologique d’enferment de cette personne. Que retient-elle au fond de son âme ? Se bride-t-elle ?
Ces questions trouvent une réponse implicite petit à petit dans ses œuvres : on pourrait même s’aventurer à dire, et de manière juste il me semble, que Claraw ‘’explose’’.Ses toiles sont expressives autant par leurs formes, aspects, textures, couleurs qui expriment une sorte de renouveau multicolores et en dérive. Tous ces cotés paraissent ressortir, tant les émotions joyeuses que maussades venues d’un subconscient trop chargés et dont les mécanismes de défense, ici le refoulement et le clivage semble-t-il, ne suffisent plus à étouffer les ressentis.
De plus, la jeune artiste se diversifie dans ses travaux, mêlant plusieurs domaines, tant sur ses peintures sur toile et la musique, on peut dire qu’elle peint la musique … sorte de réunion de deux entités qui s’acceptent ou encore un déblocage d’une structure perçue comme trop rigide qui altère, par sa conformité aux normes, le potentiel créatif de l’auteur.
Chaque œuvre exprime quelque chose, une part de son créateur, sa pensée est certes mis en scène, mais n’est pas dévié de son objectif. On sent une réelle passion, un besoin d’expression, un vécu qui sert à la fois d’inspiration mais aussi de frein, il persiste encore quelques secrets au fond de cette jeune femme. Des hésitations à ne pas se révéler, des peurs profondes, des pensées obscures qui oppressent sa psyché tourmentée. Pas de faux semblants, ni de superficiel, la pulsion de vie présente en chacun de nous dès la naissance est ici exprimée clairement, quelque soit les couleurs utilisées.
Cependant, il ressort une réelle dualité, Claraw est divisée, clivée entre deux états, l’un la bridant dans un optique de conservation, l’autre étant ouvert à toute nouveauté. Le premier côté mentionné est réconfortant car connu, et semble avoir été protecteur de l’équilibre psychique du sujet face aux ‘’attaques’’ d’une réalité difficile et par trop menaçante envers la sensibilité exacerbée du sujet. L’autre, qui, de premier abords parait être neuf, est en fait présent au même titre que la partie préservatrice, elle pourrait même en être la cause, la curiosité est grande chez l’artiste et aurait pu causer notamment des troubles dans l’équilibre de cette personne. C’est pourquoi le mécanisme bridant serait aussi fort, il aurait été créé en contrepartie de cette attirance pour la nouveauté. Cette bride se retrouve dans les fonds des œuvres, unies, servant de base, de repère aux yeux.
Mais, si nous avançons dans l’évolution des toiles et œuvres, on constate une ouverture, par les formes. L’artiste prend de l’assurance et remet en lumière sa soif de nouveauté et de vie, force de vie trahies par les multiples et diverses formes, formats, couleurs plus recherchées présentes sur les travaux de l’auteur.
On comprend qu’une décision a été prise, la volonté de recouvrer une vivacité, une « voracité » d’exploration. Claraw se permet la possibilité de connaître un trouble dans son équilibre, perturbant, mais assurant une expérience de vie et de fraîcheur, de surpassement et d’épanouissement.
On pourra alors parler de « Sublimation » dans l’évolution de la vie de la jeune femme qui progresse toujours plus en technique, finesse, expression. En d’autres termes, Claraw possède la volonté et la passion ce qui lui donne un immense potentiel à parcourir et beaucoup à offrir.
Parcours qui nous permets alors de retracer l’évolution d’un psychisme perturbé et en perpétuel combat avec la réalité à surmonter.
Les premières ébauches de la jeune artistes montrent une régularité assez expressive malgré la simplicité et la rapidité du geste et des motifs, on peut y dénoter un aspect très rigoureux qui n’est pas sans rappeler des sortes de barreaux, barrière qui trahissent l’état moral et psychologique d’enferment de cette personne. Que retient-elle au fond de son âme ? Se bride-t-elle ?
Ces questions trouvent une réponse implicite petit à petit dans ses œuvres : on pourrait même s’aventurer à dire, et de manière juste il me semble, que Claraw ‘’explose’’.Ses toiles sont expressives autant par leurs formes, aspects, textures, couleurs qui expriment une sorte de renouveau multicolores et en dérive. Tous ces cotés paraissent ressortir, tant les émotions joyeuses que maussades venues d’un subconscient trop chargés et dont les mécanismes de défense, ici le refoulement et le clivage semble-t-il, ne suffisent plus à étouffer les ressentis.
De plus, la jeune artiste se diversifie dans ses travaux, mêlant plusieurs domaines, tant sur ses peintures sur toile et la musique, on peut dire qu’elle peint la musique … sorte de réunion de deux entités qui s’acceptent ou encore un déblocage d’une structure perçue comme trop rigide qui altère, par sa conformité aux normes, le potentiel créatif de l’auteur.
Chaque œuvre exprime quelque chose, une part de son créateur, sa pensée est certes mis en scène, mais n’est pas dévié de son objectif. On sent une réelle passion, un besoin d’expression, un vécu qui sert à la fois d’inspiration mais aussi de frein, il persiste encore quelques secrets au fond de cette jeune femme. Des hésitations à ne pas se révéler, des peurs profondes, des pensées obscures qui oppressent sa psyché tourmentée. Pas de faux semblants, ni de superficiel, la pulsion de vie présente en chacun de nous dès la naissance est ici exprimée clairement, quelque soit les couleurs utilisées.
Cependant, il ressort une réelle dualité, Claraw est divisée, clivée entre deux états, l’un la bridant dans un optique de conservation, l’autre étant ouvert à toute nouveauté. Le premier côté mentionné est réconfortant car connu, et semble avoir été protecteur de l’équilibre psychique du sujet face aux ‘’attaques’’ d’une réalité difficile et par trop menaçante envers la sensibilité exacerbée du sujet. L’autre, qui, de premier abords parait être neuf, est en fait présent au même titre que la partie préservatrice, elle pourrait même en être la cause, la curiosité est grande chez l’artiste et aurait pu causer notamment des troubles dans l’équilibre de cette personne. C’est pourquoi le mécanisme bridant serait aussi fort, il aurait été créé en contrepartie de cette attirance pour la nouveauté. Cette bride se retrouve dans les fonds des œuvres, unies, servant de base, de repère aux yeux.
Mais, si nous avançons dans l’évolution des toiles et œuvres, on constate une ouverture, par les formes. L’artiste prend de l’assurance et remet en lumière sa soif de nouveauté et de vie, force de vie trahies par les multiples et diverses formes, formats, couleurs plus recherchées présentes sur les travaux de l’auteur.
On comprend qu’une décision a été prise, la volonté de recouvrer une vivacité, une « voracité » d’exploration. Claraw se permet la possibilité de connaître un trouble dans son équilibre, perturbant, mais assurant une expérience de vie et de fraîcheur, de surpassement et d’épanouissement.
On pourra alors parler de « Sublimation » dans l’évolution de la vie de la jeune femme qui progresse toujours plus en technique, finesse, expression. En d’autres termes, Claraw possède la volonté et la passion ce qui lui donne un immense potentiel à parcourir et beaucoup à offrir.
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